- EAN13
- 9782742754625
- ISBN
- 978-2-7427-5462-5
- Éditeur
- Actes Sud
- Date de publication
- 30/03/2005
- Collection
- Littérature néerlandaise
- Nombre de pages
- 272
- Dimensions
- 21,7 x 11,6 x 1,9 cm
- Poids
- 275 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- flamand, néerlandais
- Code dewey
- 850
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Le Jardin des innocents
roman
De Kristien Hemmerechts
Traduit par Patrick Grilli
Actes Sud
Littérature néerlandaise
Offres
Flandre pour se rendre en Espagne, dans le petit port où, enfants, elles venaient en vacances : Nora, la benjamine, l'actrice, la séductrice ; Judith, l'aînée, la femme d'affaires aux activités mystérieuses ; et Hélène, vendeuse de parfumerie apparemment conventionnelle et sans histoires.
Ensemble, elles vont retrouver leur tante, une femme solitaire mise au ban de la famille depuis bien longtemps et qui s'est installée dans un lieu chargé de symboles, une bâtisse où la municipalité enfermait les filles-mères à l'époque de Franco.
Au fil des kilomètres et des souvenirs égrenés dans le cadre de cette intimité illusoire, le passé évoqué met au jour les strates de moins en moins avouables de la personnalité des trois soeurs.
La famille est toujours lieu de drames. Et le temps du voyage suffit pour que la mécanique sociale se dérègle, que les apparences se fissurent et qu'affleu-rent la violence, la folie ordinaire.
Ce récit d'allure nonchalante, courant au fil de la plume ou paressant au rythme de la conversation, évoquant tour à tour la souriante mélancolie de Tchékhov ou l'âpreté d'Ibsen, offre une image parfaite de l'univers de Kristien Hemmerechts : un monde où la mer bleue cache d'inquiétants abîmes, où rien n'est "innocent".
Ensemble, elles vont retrouver leur tante, une femme solitaire mise au ban de la famille depuis bien longtemps et qui s'est installée dans un lieu chargé de symboles, une bâtisse où la municipalité enfermait les filles-mères à l'époque de Franco.
Au fil des kilomètres et des souvenirs égrenés dans le cadre de cette intimité illusoire, le passé évoqué met au jour les strates de moins en moins avouables de la personnalité des trois soeurs.
La famille est toujours lieu de drames. Et le temps du voyage suffit pour que la mécanique sociale se dérègle, que les apparences se fissurent et qu'affleu-rent la violence, la folie ordinaire.
Ce récit d'allure nonchalante, courant au fil de la plume ou paressant au rythme de la conversation, évoquant tour à tour la souriante mélancolie de Tchékhov ou l'âpreté d'Ibsen, offre une image parfaite de l'univers de Kristien Hemmerechts : un monde où la mer bleue cache d'inquiétants abîmes, où rien n'est "innocent".
S'identifier pour envoyer des commentaires.