Les oliviers de la Parisienne

“… Durant l’année qui s’écoule, les séjours de Cécile sont plus fréquents. Le ciel bleu, la beauté des paysages, le doux climat venant de la mer Méditerranée retenu par le massif, la vie du village rythmée par la culture des oliviers, véritable richesse de la vallée, les courses de taureaux, les traditions provençales, tout cela la séduit. Et puis il y a Albert.Lors de ses promenades dans les Alpilles, elle fait connaissance avec la nature à l’état pur. Par les sentiers poussiéreux qui se perdent dans la montagne, elle découvre les parfums sauvages, ainsi que la faune très variée et active en ces lieux. Elle se laisse envahir par des sensations jusque-là inconnues, pour elle. Elle est sous le charme de ce pays qu’elle commence à aimer…”.