Avec Sylvain Coher
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Le , LIBRAIRIE LE CARNET A SPIRALES

Un grand plaisir de vous présenter Sylvain Coher et de passer une belle heure de discussion à ses côtés.
Probablement le roman le plus touffu, fou et littéraire de cette rentrée. Que c'est beau "Etraves".
Un travail titanesque pour une épopée en mer, un travail en écriture pour créer une langue nouvelle, heureux mixage de tant de langages, du plus populaire au plus châtié, du plus imagé au plus argotique, du plus technique au plus inventif.
Et cerise sur la proue, Sylvain est un partageur, écrivain sympa et talentueux.

Nous vous conseillons vivement de venir à la rencontre de Sylvain Coher.
Rencontre suivie de dédicace

revue de presse :
Dystopie truculente, le dernier roman de Sylvain Coher est une odyssée stylistique aussi réjouissante qu’un feu d'artifice.
Chacune des phrases est un tour de force où les acrobaties verbales se mêlent aux inventions lexicales. La virtuosité systématique de Sylvain Coher puise à plusieurs sources : ancien français, argot parisien de l’après-guerre (celui des Tontons flingueurs), louchébem, jargon des marins, vocabulaire médical, dictons populaires, expressions dévoyées, anglicismes, sans parler des nombreux néologismes et de force allitérations qui rendent cette marqueterie finement ciselée encore plus savoureuse et scintillante. TRANSFUGE

Dans une langue argotique, jargonnière, issue de chants marins et de langue portuaire, Sylvain Coher nous propose un roman d’aventure hors du commun, empli de personnages parfois facétieux, parfois cruels, souvent truculents. PAGE DES LIBRAIRES

Sylvain Coher n’avait pas publié depuis longtemps : c’était pour retravailler les codes du roman marin, en réinventer la langue en une création à la fois technique, et archaïque, à la hauteur du mythe qui sera peut-être notre nouvelle réalité. L'HUMANITÉ

Si l’idiome des marins fait le charme des « racontars de bars des flots bleus », Sylvain Coher lui donne une dimension supérieure, le réinvente, y incorpore des bouts de chansons, des phrases à la Céline ou à la Audiard, en fait l’armature de ce récit picaresque au service d’une fiction à quoi on s’accroche, heureux de ne pas y croire. Car, comme dit Blaquet, « si nos bobards devenaient des îles, on aurait toujours les pattes au sec ».

Alain Nicolas, L'HUMANITÉ
Sylvain Coher, lui, a voulu tout bonnement « effacer la Terre » : Étraves est un récit qui doit autant à l’imaginaire de la piraterie qu’au livre maritime. Ici, la mer a presque tout recouvert. Seuls émergent quelques îlots et trois continents minuscules. Les rares qui n’ont pas voulu y rester ont embarqué dans des navires de fortune pour y vivre. Mais l’océan n’a plus rien de pur : un peu d’eau, des archipels d’algues, beaucoup d’objets flottants et des étendues de « plastiglomérat ». Le narrateur, un jeune marin, décide de regagner la première terre pour y enterrer sa mère, morte à bord. « Le thème du déluge était mon idée de départ », souligne Coher, qui chérit la mer depuis l’enfance, quand il partait naviguer avec son grand-père marin. Hubert Artus, LIRE MAGAZINE LITTÉRAIRE

Dès les premiers paragraphes de ce délirant roman maritime, nous voilà saisis. Et par la langue, et par l’esprit d’aventure qui porte loin, entre flux et reflux, ce magistral Étraves, dixième roman de Sylvain Coher, 52 ans, grand amoureux de la mer et passionné par la navigation.

Et on referme le livre, à la fois ivre de mer et saoul jusqu’à plus soif de cette langue particulière et enchantée. Thierry Clermont, LE FIGARO LITTÉRAIRE

Le roman d’aventures maritimes de Sylvain Coher offre une aventure de lecture ébouriffante grâce à une langue d’une folle inventivité. Jouissif ! Thierry Guichard, LE MATRICULE DES ANGES

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