- EAN13
- 9791021019799
- ISBN
- 979-10-210-1979-9
- Éditeur
- Tallandier
- Date de publication
- 02/06/2016
- Collection
- Texto
- Nombre de pages
- 480
- Dimensions
- 18 x 12,2 x 2,9 cm
- Poids
- 380 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Madame Élisabeth, soeur cadette de Louis XVI, meurt à trente ans sur l’échafaud le 10 mai 1794. Dans ce portrait absolument neuf, elle apparaît,dans le tumulte de la Révolution, plus résolue et déterminée que son frère – preuve qu’elle était dotée d’un véritable sens politique.
Très jolie, remarquablement intelligente, mathématicienne de haut niveau, dotée d’un caractère affirmé, Élisabeth, après l’échec de plusieurs projets de mariage, décide de vivre à sa guise dans un cercle choisi partageant son goût de la retraite et de l’action caritative. Critique muette des manières de la reine, ce choix l’isole au sein de la Cour, et même de la famille royale.
Lorsque la Révolution éclate, elle choisit pourtant de rester près de Louis XVI, qu’elle juge trop faible. Elle est aussi sans illusion sur sa propre influence, contrecarrée par la jalousie de Marie-Antoinette. Au coeur d’un réseau de renseignement contre-révolutionnaire, elle essaie d’empêcher la catastrophe. En s’appuyant sur la correspondance de la princesse, celle de ses amis, les mémoires du temps, Anne Bernet débarrasse, pour la première fois, Madame Élisabeth de l’imagerie pieuse qui occulta sa personnalité.
Très jolie, remarquablement intelligente, mathématicienne de haut niveau, dotée d’un caractère affirmé, Élisabeth, après l’échec de plusieurs projets de mariage, décide de vivre à sa guise dans un cercle choisi partageant son goût de la retraite et de l’action caritative. Critique muette des manières de la reine, ce choix l’isole au sein de la Cour, et même de la famille royale.
Lorsque la Révolution éclate, elle choisit pourtant de rester près de Louis XVI, qu’elle juge trop faible. Elle est aussi sans illusion sur sa propre influence, contrecarrée par la jalousie de Marie-Antoinette. Au coeur d’un réseau de renseignement contre-révolutionnaire, elle essaie d’empêcher la catastrophe. En s’appuyant sur la correspondance de la princesse, celle de ses amis, les mémoires du temps, Anne Bernet débarrasse, pour la première fois, Madame Élisabeth de l’imagerie pieuse qui occulta sa personnalité.
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