Encres marines
EAN13
9782490521128
ISBN
978-2-490-52112-8
Éditeur
FOOD
Date de publication
Nombre de pages
88
Dimensions
16,5 x 24 x 1,3 cm
Poids
500 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Encres marines

De

Food

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Préface

« C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme ». Tatata ! Pourtant, « on a tous dans le cœur des vacances à Saint-Malo et les parents qui dansent sur Luis Mariano ». Au camping des Flots Bleus, Voulzy se traîne des tonnes de cafards; s’il avait bossé un peu, il se serait payé une guitare.
Les vacances au bord de la mer, ça sent l’iode et la nostalgie de la petite enfance. Chez les Jonasz, il fallait faire attention quand on avait payé le prix d'une location. Alors on regardait les bateaux et on suçait des glaces à l'eau.
Trenet, Moustaki, Brassens, Adamo, Calogero, Renaud… chantent (ou ont chanté) la mer. Delestre, lui, l’enchante. Nuance…
Ce pitre (assez sage, finalement) la dessine en pêchant dans le filet des souvenirs la cocasserie qui caractérise son humour. Il remonte à bord un corsaire qui a le mal de mer, un port qui… se vide, un homard qui picole (trop) au bar.
Finalement, ce Lorrain, 100 % mirabelle, a un spi dans le ciboulot. Et dans ses vacances, il y a du Trenet et du Tati, du Môssieur Hulot et du Monsieur Toutlemonde. Tous embarqués sur une île du Morbihan agréablement bercée par un grain de folie. C’est tendre comme une marée étale, drôle comme une tempête dans un verre de rosé bien frais.
Et Philou, c’est pour cela qu’on l’aime… Tatata !
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