- EAN13
- 9782940628551
- ISBN
- 978-2-940628-55-1
- Éditeur
- Éditions des Syrtes
- Date de publication
- 19/03/2020
- Collection
- Littérature étrangère
- Nombre de pages
- 259
- Dimensions
- 20 x 12 x 2 cm
- Poids
- 244 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- moldave, roumain
- Fiches UNIMARC
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Le jardin de verre
Roman
De Tatiana Ţîbuleac
Traduit par Philippe Loubière
Éditions des Syrtes
Littérature étrangère
Offres
-
17.00
Autre version disponible
Chișinău, en Moldavie. La petite Lastotchka est adoptée dans un orphelinat par Tamara Pavlovna, ramasseuse de bouteilles. Lastotchka va à l’école, apprend le russe alors qu’elle préfère sa langue, le moldave, et elle se fait punir par sa mère adoptive lorsqu’elle écorche les mots russes. Elle apprend à laver des bouteilles mais aussi à voler ou à repousser les sollicitations des hommes trop insistants… Les habitants de son immeuble deviennent sa nouvelle famille et lui donnent un peu de leur humanité. Mais les blessures ne s’effacent pas et les questions hantent.
Le Jardin de verre est un roman intime sur les traumatismes de l’enfance, la quête de soi et de l’identité, dans un environnement multiculturel et bilingue. Vu à travers les yeux d’une enfant, il est relaté avec la sensibilité, la fragilité, la dureté et la cruauté de son âge. Un peu comme le jouet tant désiré par Lastotchka – un kaléidoscope – ramassé sous les roues d’une voiture, qui semblait entier et pourtant brisé à l’intérieur.
Mais Le Jardin de verre est aussi une lettre imaginée par Lastotchka, adulte, à ses parents. La douleur de l’abandon, le manque d’amour et de douceur maternelle sont des plaies qui ne se referment pas.
Le Jardin de verre est un roman intime sur les traumatismes de l’enfance, la quête de soi et de l’identité, dans un environnement multiculturel et bilingue. Vu à travers les yeux d’une enfant, il est relaté avec la sensibilité, la fragilité, la dureté et la cruauté de son âge. Un peu comme le jouet tant désiré par Lastotchka – un kaléidoscope – ramassé sous les roues d’une voiture, qui semblait entier et pourtant brisé à l’intérieur.
Mais Le Jardin de verre est aussi une lettre imaginée par Lastotchka, adulte, à ses parents. La douleur de l’abandon, le manque d’amour et de douceur maternelle sont des plaies qui ne se referment pas.
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