- EAN13
- 9782865891191
- ISBN
- 978-2-86589-119-1
- Éditeur
- Macula Éditions
- Date de publication
- 09/2019
- Collection
- Prière de ne pas toucher les étoiles
- Nombre de pages
- 245
- Dimensions
- 24,1 x 16 x 0,1 cm
- Poids
- 462 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Alger, journal intense
Vie et mort de Karim Fatimi, écrivain (1968-2014)
De Mustapha Benfodil
Macula Éditions
Prière de ne pas toucher les étoiles
Offres
-
22.00
À la croisée de plusieurs genres, ce roman-radiographie de
l’Algérie contemporaine relève le pari de recréer le chaos
de l’Algérie des années 1990 par l’expérimentation
formelle : le texte est mots, ratures, photos, pages
arrachées, papiers d’emballage, dessins… fragments,
fracas, convulsions.
Karim Fatimi, astrophysicien de renom, meurt sur la route
de Bologhine près de la « Maison hantée ». Mounia, sa
femme, dévastée, entame alors un journal pour exorciser son chagrin. En parallèle, guidée par
un étrange voyeurisme, elle décide de se plonger dans les innombrables écrits de toutes sortes
accumulés par son mari. Le lecteur passe d’une narration à l’autre, reformant alors le puzzle de
l’univers tourmenté de Karim Fatimi, écrivain écorché vif, mais aussi époux, père, fils, frère,
amant en découvrant chaque moment clé de sa vie : Octobre 1988, la décennie noire, la
naissance de leur fille ou encore ce mystérieux 28 novembre 1994...
Le livre est comme un corps, vivant, palpitant, à l’image du corps de Mounia sur lequel écrit le
narrateur. Dans une langue ludique et généreuse, Mustapha Benfodil livre le lecteur aux mains
d’un destin à l’humour parfois rose, parfois noir.
« ... je ne peux concevoir l’écriture autrement que comme un puzzle dont les pièces sont
éparpillées dans toutes les régions de la vie, du corps et du logos. Dans cette tâche, je dirais que
mes plus belles pépites restent encore les perles du quotidien. »
À la croisée de plusieurs genres, ce roman-radiographie de
l’Algérie contemporaine relève le pari de recréer le chaos
de l’Algérie des années 1990 par l’expérimentation
formelle : le texte est mots, ratures, photos, pages
arrachées, papiers d’emballage, dessins… fragments,
fracas, convulsions.
Karim Fatimi, astrophysicien de renom, meurt sur la route
de Bologhine près de la « Maison hantée ». Mounia, sa
femme, dévastée, entame alors un journal pour exorciser son chagrin. En parallèle, guidée par
un étrange voyeurisme, elle décide de se plonger dans les innombrables écrits de toutes sortes
accumulés par son mari. Le lecteur passe d’une narration à l’autre, reformant alors le puzzle de
l’univers tourmenté de Karim Fatimi, écrivain écorché vif, mais aussi époux, père, fils, frère,
amant en découvrant chaque moment clé de sa vie : Octobre 1988, la décennie noire, la
naissance de leur fille ou encore ce mystérieux 28 novembre 1994...
Le livre est comme un corps, vivant, palpitant, à l’image du corps de Mounia sur lequel écrit le
narrateur. Dans une langue ludique et généreuse, Mustapha Benfodil livre le lecteur aux mains
d’un destin à l’humour parfois rose, parfois noir.
« ... je ne peux concevoir l’écriture autrement que comme un puzzle dont les pièces sont
éparpillées dans toutes les régions de la vie, du corps et du logos. Dans cette tâche, je dirais que
mes plus belles pépites restent encore les perles du quotidien. »
l’Algérie contemporaine relève le pari de recréer le chaos
de l’Algérie des années 1990 par l’expérimentation
formelle : le texte est mots, ratures, photos, pages
arrachées, papiers d’emballage, dessins… fragments,
fracas, convulsions.
Karim Fatimi, astrophysicien de renom, meurt sur la route
de Bologhine près de la « Maison hantée ». Mounia, sa
femme, dévastée, entame alors un journal pour exorciser son chagrin. En parallèle, guidée par
un étrange voyeurisme, elle décide de se plonger dans les innombrables écrits de toutes sortes
accumulés par son mari. Le lecteur passe d’une narration à l’autre, reformant alors le puzzle de
l’univers tourmenté de Karim Fatimi, écrivain écorché vif, mais aussi époux, père, fils, frère,
amant en découvrant chaque moment clé de sa vie : Octobre 1988, la décennie noire, la
naissance de leur fille ou encore ce mystérieux 28 novembre 1994...
Le livre est comme un corps, vivant, palpitant, à l’image du corps de Mounia sur lequel écrit le
narrateur. Dans une langue ludique et généreuse, Mustapha Benfodil livre le lecteur aux mains
d’un destin à l’humour parfois rose, parfois noir.
« ... je ne peux concevoir l’écriture autrement que comme un puzzle dont les pièces sont
éparpillées dans toutes les régions de la vie, du corps et du logos. Dans cette tâche, je dirais que
mes plus belles pépites restent encore les perles du quotidien. »
À la croisée de plusieurs genres, ce roman-radiographie de
l’Algérie contemporaine relève le pari de recréer le chaos
de l’Algérie des années 1990 par l’expérimentation
formelle : le texte est mots, ratures, photos, pages
arrachées, papiers d’emballage, dessins… fragments,
fracas, convulsions.
Karim Fatimi, astrophysicien de renom, meurt sur la route
de Bologhine près de la « Maison hantée ». Mounia, sa
femme, dévastée, entame alors un journal pour exorciser son chagrin. En parallèle, guidée par
un étrange voyeurisme, elle décide de se plonger dans les innombrables écrits de toutes sortes
accumulés par son mari. Le lecteur passe d’une narration à l’autre, reformant alors le puzzle de
l’univers tourmenté de Karim Fatimi, écrivain écorché vif, mais aussi époux, père, fils, frère,
amant en découvrant chaque moment clé de sa vie : Octobre 1988, la décennie noire, la
naissance de leur fille ou encore ce mystérieux 28 novembre 1994...
Le livre est comme un corps, vivant, palpitant, à l’image du corps de Mounia sur lequel écrit le
narrateur. Dans une langue ludique et généreuse, Mustapha Benfodil livre le lecteur aux mains
d’un destin à l’humour parfois rose, parfois noir.
« ... je ne peux concevoir l’écriture autrement que comme un puzzle dont les pièces sont
éparpillées dans toutes les régions de la vie, du corps et du logos. Dans cette tâche, je dirais que
mes plus belles pépites restent encore les perles du quotidien. »
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