Une société, des commerces. Des villages, des villes, des centres commerciaux...

Commerces essentiels ou non. Centres villages, centres villes ou périphéries sans âmes. La question de l'aménagement du territoire. Celle des flux. Des moyens de transports. La voiture ou le piéton. Et d'ailleurs pourquoi "ou". Pourquoi choisir entre grandes surfaces et petits commerces. Pourquoi s'offrir des plans couteux de redynamisation des centres villes quand dans le même temps les installations des centres commerciaux fleurissent comme des fleurs de bitume. Pourquoi ne pas choisir un équilibre, permettre à chacun d'aller là où bon lui semble. Tiens "vivre ensemble", cette jolie expression "cul cul la praline" reverdit à l'hiver où le masque tue dans l'œuf ou dans le masque les relations sociales. Vous souvenez-vous qu'il y a quelques années les bars revendiquaient ce lien social ? La place du village est-elle aujourd'hui démodée alors que les agents immobiliers, qui ne sont pas étrangers à la situation, claironnent et argumentent sur cet "hypercentre". Et puis ce commerce. L'avenir est-il aux seules plateformes internautes. La livraison individuelle dans un carton individuel transporté dans un petit camion que conduit un chauffeur pressurisé. L'impatience du client. L'obligation du tout tout de suite. Et donc l'écologie s'arrête t-elle lorsque démarre son propre confort égoïste. Alors des livres, encore, toujours pour essayer de comprendre et apprendre. Toujours...